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Naturapass, l’application connue des hommes politiques ?

Jean-François Copé, maire de Meaux en Seine-et-Marne et député de ce même département a accordé une interview à Chassons.com, il y a quelques mois. Il y a abordé son avis sur différents sujets liés à la chasse.

 

Que pense Jean-François Copé de la chasse ?

L’homme du parti Les Républicains détient une vision assez positive de la chasse. Elle est pour lui « un Jean Francois Cope 300x300 Naturapass, lapplication connue des hommes politiques ?pilier de notre société », « un symbole de l’identité rurale française », « un lieu de convivialité », « un régulateur hors pair des écosystèmes » et participe « à la bonne santé économique de notre pays ».

« Chaque chasseur est une vraie sentinelle de la nature. Par passion, les chasseurs participent à protéger tout à la fois la biodiversité et nos cultures agricoles. » Jean-François Copé

L’homme politique de 53 ans est pour la dérogation concernant la chasse aux oies et pense que « Le Gouvernement est complètement déconnecté de la réalité des terroirs et oublie que les chasseurs sont des piliers de la gestion quotidienne de nos territoires agricoles et forestiers. ». Il reconnait l’immense travail des chasseurs en disant : « Être conscient du travail effectué par nos chasseurs implique de revoir plus largement la gouvernance de la chasse : la chasse doit être rattachée au Ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, et non plus au Ministère de l’Environnement. Il faut prendre en compte la transversalité des enjeux de la ruralité et de la filière cynégétique. ».

Il souhaite également une renégociation de « la convention de Berne afin de déclasser le loup d’« espèce strictement protégée » en « espèce protégée simple », car le loup n’est plus en voie de disparition. », et « préserver l’affectation de la totalité de la redevance cynégétique à l’ONCFS car cela permet de financer les études nécessaires à la survie de la chasse. ».

 

Jean-François Copé recommande Naturapass !

 

flyer Naturapass 1 Naturapass, lapplication connue des hommes politiques ?La FDC de Seine-et-Marne donne l’exemple avec Naturapass !

La FDC de Seine-et-Marne travaille depuis quelque temps avec Naturapass. Leur relation est basée sur la confiance et l’efficacité. En effet, à travers l’outil Sentinelle de Naturapass, la fédération peut détenir des observations terrain de manière beaucoup plus simple, rapide et pratique qu’avant. Jean-François Copé appuie ceci en disant « Etat sanitaire des animaux, partage de photos, cartographie du territoire de chasse : cette remontée d’informations est un atout incommensurable pour surveiller et gérer la faune. J’espère que cette utilisation de l’application Naturapass se diffusera dans tous les départements. ».
Le bilan de cette application est très positif pour ce département.

L’homme politique de Seine-et-Marne est fier de sa FDC grâce à son avance due à l’application « Je suis d’ailleurs très fier de la chasse seine-et-marnaise parce qu’elle est un exemple pour les autres départements. Je pense notamment à l’utilisation que les chasseurs seine-et-marnais font de l’application Naturapass pour remonter l’information en temps réel sur la faune à leur fédération. »

 

Naturapass pour vaincre les préjugés !

Du vieil alcoolique au « viandard », les chasseurs souffrent malheureusement de beaucoup de préjugés. Monsieur Copé pense qu’introduire la technologie dans la chasse peut être un bon moyen de lutter contre: « […] pour vaincre définitivement ces préjugés sur la chasse, je veux mettre en valeur le rôle des chasseurs en tant que surveillants de la faune. Je souhaite développer une chasse 2.0, à l’exemple de ce qui se fait dans la fédération départementale de Seine-et-Marne, en déployant l’utilisation de l’application Naturapass par la communication de l’information à toutes les fédérations et associations de chasseurs et par l’introduction d’un cours explicatif de l’application lors des actions d’information et d’éducation réalisées par les fédérations auprès de leurs adhérents. »

 

Pour lire l’interview complète, cliquez ici.

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